Bonne année !
Voilà, je sacrifie à la tradition, donc bonne année à tous, et puis pour les voeux de bonheur, mettez ce que vous voulez derrière (un job/un mec/du sexe/une oeuvre/un vélo/des voyages/du bonheur/un nouvel album de Nada Surf, bref, tout et n'importe quoi). Donc 2009 s'est achevé dans une cuite, et 2010 a commencé idem, et puis le 1er janvier, tout le monde se lève le coeur gonflé d'allégresse (et la tête douloureuse des excès de la veille), prenant des bonnes résolutions qui ne seront tenues que 15 jours, voire un mois pour les plus courageux. Les promesses n'engagent que ceux qui y croient, c'est bien connu. Et a cuite du jour de l'An entraîne en général la résolution la plus mensongère de l'histoire de l'humanité : en 2010, j'arrête de boire. Il y a aussi le célébrissime j'arrête de fumer, je me mets au sport, je fais un régime (variante : je mets au régime la créature rousse, poilue et ronronnante qui est vrautrée dans mon lit, j'ai nommé Elvis le chat), j'apprends à mieux gérer mon argent (résolution dûment flinguée six jours après avoir été prise, par le début des soldes), je trouve un job qui valorise VRAIMENT mes compétences, j'arrête de coucher avec le premier venu, juste parce qu'il a montré le minimum d'intérêt qui m'est du...j'en passe et des meilleures.
Evidemment, après tout ça, j'aurais du mal à convaincre qui que ce soit que ma résolution numéro 1 de l'année sera de faire renaître ce blog de ses cendres. Ok, je l'admets, j'ai été plus laxiste sur son administration ces derniers temps, trop occupée à faire de l'apnée sous le tsunami de travail qui m'a submergé. Les mauvaises langues diront que la vie parisienne a eu tendance à me faire oublier mon blog, et je dirais que oui, les nuits courtes ont été nombreuses ces derniers temps. Mais on m'a plus vu derrière un PC qu'au Baron, voilà pour dissimuler les malentendus.
Alors, qu'attendre de 2010, si ce n'est l'éclosion du talent hors norme d'un blogueuse géniale (ouais, moi même je pouffe en lisant cette phrase...) ? Et bien déjà, qu'elle mette fin à l'immonde décennie derrière nous, presque aussi infâme que la décennie 90, voire que la décennie 80 (et là je place la barre très très haut en matière de mauvais goût). C'est vrai, que peut-on retirer d'une décennie qui a commencé par le port du survêtement rentré dans les chaussettes, et qui s'est achevée par l'engendrement d'une génération rendue borgne à coups de coupe de cheveux intégrant le port du cache-oeil sobrement appelé mèche, et du couronnement du vêtement menançant la survie de l'expèce toute entière, le slim. Et que dire d'une décennie qui s'est achevée par le couronnement de David Guetta, considéré comme le nouveau pape de la French touch ? Evidemment, on pourra chipoter sur le fait que 2010 ne ferme pas vraiment la décennie 00's, puisque celle ci a commencé en 2001. Certes. Mais par un effet de mode, et par réflexe moutonnier, j'ai la faiblesse de voir 2010 comme le début d'un nouveau cycle. Ou peut-être est-ce parce que, à titre personnel, 2009 a vraiment marqué la fin d'un cycle, puisque j'ai fini mes chères études pour plonger dans le grand bain du monde du travail.
Et, en même temps, il serait stupide de croire que le nouvel an marque vraiment le début de quelque chose. Par exemple, moi, je me suis levée le matin du 1er, toujours aussi célibataire, propriétaire d'un chat au bord de l'obésité, et avec un acné persistant sur le visage. Mais c'est juste réconfortant de se dire, au moins pendant la première quinzaine de janvier, le temps que nos bonnes résolutions s'essoufflent, que l'on va faire du ménage dans sa vie, que l'on va prendre un nouveau départ, et que cette année sera notre année. Et que cette fois-ci, on les tiendra ses bonnes résolutions. Après tout, pourquoi pas ? Moi en tout cas, je tâcherai de tenir ma résolution n° 1 : tenter de conquérir le monde (ah non, ça c'est dans Minus et Cortex, ça aussi ça serait une bonne réslution tiens, arrêter de regarder les dessins animés en pyjama le week-end à 24 ans passés). Bref, ma bonne résolution sera de tenter de faire de ce blog quelque chose de bien, de vraiment bien. Et je la tiendrais ma résolution. Jusqu'au 1er février ?
Puisqu'on parlait de décennie 00's, en voilà un qui l'a commencé et fini en fanfare :
Evidemment, après tout ça, j'aurais du mal à convaincre qui que ce soit que ma résolution numéro 1 de l'année sera de faire renaître ce blog de ses cendres. Ok, je l'admets, j'ai été plus laxiste sur son administration ces derniers temps, trop occupée à faire de l'apnée sous le tsunami de travail qui m'a submergé. Les mauvaises langues diront que la vie parisienne a eu tendance à me faire oublier mon blog, et je dirais que oui, les nuits courtes ont été nombreuses ces derniers temps. Mais on m'a plus vu derrière un PC qu'au Baron, voilà pour dissimuler les malentendus.
Alors, qu'attendre de 2010, si ce n'est l'éclosion du talent hors norme d'un blogueuse géniale (ouais, moi même je pouffe en lisant cette phrase...) ? Et bien déjà, qu'elle mette fin à l'immonde décennie derrière nous, presque aussi infâme que la décennie 90, voire que la décennie 80 (et là je place la barre très très haut en matière de mauvais goût). C'est vrai, que peut-on retirer d'une décennie qui a commencé par le port du survêtement rentré dans les chaussettes, et qui s'est achevée par l'engendrement d'une génération rendue borgne à coups de coupe de cheveux intégrant le port du cache-oeil sobrement appelé mèche, et du couronnement du vêtement menançant la survie de l'expèce toute entière, le slim. Et que dire d'une décennie qui s'est achevée par le couronnement de David Guetta, considéré comme le nouveau pape de la French touch ? Evidemment, on pourra chipoter sur le fait que 2010 ne ferme pas vraiment la décennie 00's, puisque celle ci a commencé en 2001. Certes. Mais par un effet de mode, et par réflexe moutonnier, j'ai la faiblesse de voir 2010 comme le début d'un nouveau cycle. Ou peut-être est-ce parce que, à titre personnel, 2009 a vraiment marqué la fin d'un cycle, puisque j'ai fini mes chères études pour plonger dans le grand bain du monde du travail.
Et, en même temps, il serait stupide de croire que le nouvel an marque vraiment le début de quelque chose. Par exemple, moi, je me suis levée le matin du 1er, toujours aussi célibataire, propriétaire d'un chat au bord de l'obésité, et avec un acné persistant sur le visage. Mais c'est juste réconfortant de se dire, au moins pendant la première quinzaine de janvier, le temps que nos bonnes résolutions s'essoufflent, que l'on va faire du ménage dans sa vie, que l'on va prendre un nouveau départ, et que cette année sera notre année. Et que cette fois-ci, on les tiendra ses bonnes résolutions. Après tout, pourquoi pas ? Moi en tout cas, je tâcherai de tenir ma résolution n° 1 : tenter de conquérir le monde (ah non, ça c'est dans Minus et Cortex, ça aussi ça serait une bonne réslution tiens, arrêter de regarder les dessins animés en pyjama le week-end à 24 ans passés). Bref, ma bonne résolution sera de tenter de faire de ce blog quelque chose de bien, de vraiment bien. Et je la tiendrais ma résolution. Jusqu'au 1er février ?
Puisqu'on parlait de décennie 00's, en voilà un qui l'a commencé et fini en fanfare :